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VENDREDI 14/03/25 - 20H30 & SAMEDI 15/03/25 - 20H30                  JAZZ-  38 € 

OLIVIER KER OURIO
HARMONICA CHROMATIQUE​​

MANUEL ROCHEMAN

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PIANO

Pour La Sortie de L'album

"AFFINITIES"

OLIVIER KER OURIO

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MANUEL ROCHEMAN

RESERVATIONS

OLIVIER KER OURIO  

MANUEL ROCHEMAN

VEN. 14 MARS 2025 - 20H30

SAM. 15 MARS 2025 - 20H30

Ouverture des portes à 20H00

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La Rêverie - Lanfian Creis - 29120 - tréméoc

Etabli à Paris depuis 1992, après une enfance passée à l’île de la Réunion, Olivier Ker Ourio est aujourd’hui reconnu comme l’un des meilleurs harmonicistes chromatiques de jazz de la planète. 

Salué par les critiques comme un digne successeur de Toots Thielemans, Ker Ourio est non seulement un soliste très demandé (Alexandre Desplat, Jean-Claude Petit, Sylvain Luc, Marcel Azzola, Michel Legrand, Didier Lockwood, Danyel Waro…), mais également un brillant compositeur et leader inspiré. Expressive et chaleureuse, sa musique privilégie l’émotion et va droit du coeur.

Dans ses 11 albums enregistrés à ce jour, ses compositions dévoilent un monde poétique habité de mélodies lyriques, d’harmonies inventives et de rythmes inhabituels. Le monde d’ OKO a le souffle de l’âme. 

On le retrouvera avec bonheur dans son prochain opus “Singular Insularity” (sortie 31 Janvier 2020), enregistré avec ses compagnons insulaires : Grégory Privat (piano/fender rhodes), Gino Chantoiseau (basse), Arnaud Dolmen (batterie), Inor Sotolongo (percussions). 

CE QUE LA PRESSE DIT DE LUI:

 

“Ce maître de la trajectoire voluptueuse….De la haute couture sur une étoffe volatile, des étoiles filantes à portée de lèvres, quel soliste ! L’anche métallique vibrante – à l’origine du son de l’harmonica et de l’accordéon – a rarement connu autant de souplesse… »
– Pierre Gervasini – le Monde 1/02/2107

– « …Olivier Ker Ourio, un beau musicien que tout le monde se dispute… »
– Francis Marmande – Le Monde 24/08/16

– « …Toots Thielemans a donné naissance à des fils musicaux comme Olivier Ker Ourio qui continuent d’honorer avec émotion « l’orgue à bouche » dans son sillage heureux. »
– Michel Contat -Télérama – 22/08/16

– « CD de L’Orkès Péï »
– CHOC Jazzmagazine 2015 – Pascal Anquetil

– « Olivier Ker Ourio est au jazz français ce que Jean-Jacques Milteau est au blues: LA référence »
– Bruno Pfeiffer – Libération

– Dans la famille des « soufflants », il est une confrérie très privilégiée, bénie des dieux. Ce sont les musiciens dont le souffle est naturellement coloré de musique. Dès qu’ils embouchent leur instrument, que ce soit un saxophone, une trompette, une flûte ou un harmonica, la musique est là, tout de suite, sans détour ni échappatoire. Comme une évidence qui plonge d’emblée l’auditeur en état d’apesanteur par la seule vérité du chant intérieur qu’elle impose. Ce supplément lyrique s’appelle le charme. Lester Young, Miles Davis, Chet Baker, Stan Getz et quelques autres ont su apprivoiser ce don qui permet de transformer le souffle en ce « quelque chose de bleu qui paraissait une aile » (Victor Hugo). Olivier Ker Ourio appartient sans nul doute à cette tribu d’élus. »
– Pascal Anquetil – Jazzman

– « On comprend pourquoi tant de musiciens ont tenu à jouer avec lui : il a le souffle de l’âme. »
– Michel Contat – 4 Clés Télérama

OKO a collaboré avec :

Alexandre Desplat, Jean-Claude Petit, Vladimir Cosma, Francis Lai, Ralph Towner, Michel Pétrucciani, Aldo Romano, Didier Lockwood, Philippe Catherine, Martial Solal, Toots Thielemans, Elisabeth Kontomanou, Jack Wilkins, Daniel Humair, Michel Legrand, Manuel Rocheman, Jean-Claude Vannier, Sylvain Luc, Paolo Fresu, Stefano di Battista, Rick Margitza, David Kikoski, Rufus Reid, Gene Jackson, Joe Locke, Jean-Michel Pilc, Diederik Wissels, Danyel Waro, Lo Kwa Kanza, Fabrice Legros, Gren Sémé, Virginie Teychené, Fred Monino, Laurent Voulzy, Georges Moustaki, Lis Sorensen, Khalil Chahine, David Linx, Pierre de Bethmann, André Ceccarelli, Louis Winsberg, Frank Woeste, Jean-Marc Jafet, David Patrois, Jacques Pellen, Thierry Lang, Heiri Kaenzig, Denis Leloup, Barend Middelhoff, Pierrick Hardy, Benoît Sourisse, André Charlier, Jean-Jacques Milteau, Igor Butman, Andrei Kondakov, Frédéric Favarel, Claudio Pontiggia, Jean-Christophe Cholet, Zool Fleischer, Guillaume de Chassy, Franck Amsallem, Jean-Marie Ecay, Yvinek…

Il s’est produit en :

France, Belgique, Hollande, Danemark, Allemagne, Suisse, Irelande, Angleterre, Espagne, Portugal, Italie, Corse, Grèce, Turquie, Bulgarie, Serbie, Ukraine, Russie, Algérie, Bénin, Togo, Ghana, Bahrein, Etats-Unis, Brésil, Vénézuela, Mexique, et les îles de la Réunion, Maurice, Guadeloupe, Corse, Madagascar, et Mayotte.

Né le 23 juillet 1964 à Paris (France). Pianiste doué qui fut longtemps considéré comme le « dauphin » de Martial Solal, Manuel Rocheman s’est distingué par une évidente virtuosité et un sens aigu de l’harmonie qui en font un pianiste raffiné particulièrement à son aise dans le cadre d’un trio. Issu d’une famille musicienne, formé au CNR de Paris où il étudie auprès de Alberto Neuman, l’un des rares disciples d’Arturo Benedetti Michelangeli, il découvre le jazz grâce à un disque d’Oscar Peterson dont il revendique l’influence ainsi que Phineas Newborn et Martial Solal avec lequel, à partir de 1980, il parfait un apprentissage du jazz entamé auprès de Michel Sardaby. A l’occasion d’un séjour à New York, il a fait, encore adolescent, la connaissance de Tommy Flanagan et de Jaki Byard. Son oreille s’enrichit à l’écoute des trios de Bill Evans, Keith Jarrett, Tete Montoliu et Chick Corea.

 

Ayant formé son premier trio en 1983, fraîchement diplômé, il se présente l’année suivante au Concours national de jazz de La Défense où il remporte un premier prix de soliste. Peu après, il joue en public des pièces que Solal et lui ont composées. Forte de ce parrainage – et du prix que le pianiste reçoit en 1989 à l’issue du premier Concours Martial Solal de la Ville de Paris – la carrière de Manuel Rocheman prend alors une véritable dimension professionnelle. Entre 1990 et 2000, le musicien signe cinq albums, tous en trio, avec des sections rythmiques différentes : l’un des plus remarqués le présente avec le contrebassiste George Mraz et le batteur Al Foster. Il semble particulièrement à son aise, dans cette configuration où l’élocution précise de ses idées et son attention scrupuleuse aux cheminements harmoniques, peuvent se déployer à l’envi : « C’est là que je me sens le mieux. Le trio ouvre sur la multiplicité des échanges. C’est une ouverture sur le monde. Je pense, d’une manière générale, que le trio reste le format d’expression idéal pour le piano. »

De l’influence de Martial Solal, dont il a été le seul « élève », et qui demeure perceptible à son goût du trait et de la variation, Manuel Rocheman parle en ces termes : « Martial m’a ouvert les portes de l’harmonie. Il m’a appris l’exigence, la volonté du renouvellement permanent, l’art de la surprise et beaucoup d’autres choses. »

Comme son maître, Rocheman affirme son talent en se confrontant aux règles du jeu triangulaire et en travaillant dans le respect des formes pour mieux stimuler son sens de l’improvisation. Son expérience de l’improvisation libre auprès du contrebassiste Didier Levallet le conforte dans ses orientations esthétiques. Outre des compositions personnelles, il s’applique de plus en plus fréquemment à l’interprétation de standards en ayant le soin d’en proposer des versions renouvelées : « L’intérêt n’est pas le standard en lui-même mais ce qu’on en fait en triturant les grilles harmoniques, en transposant les tonalités », explique-t-il.

 

Manuel Rocheman a manifesté son talent de compositeur au fil de ses albums, notamment ceux enregistrés à New-York en compagnie de deux géants, le contrebassiste George Mraz et le batteur Al Foster, ainsi que Scott Colley et Antonio Sanchezavec lesquels il enregistre «Cactus Dance » en 2007.

 

Pour son album « The Touch Of Your Lips » – Tribute to Bill Evans paru en 2010 chez Naïve, Manuel déclare : « La musique de Bill Evans m’a toujours accompagnée et inspirée, j’ai voulu rendre hommage à ce fabuleux musicien en apportant ma touche personnelle avec un projet longuement mûri. Je rends cet hommage avec sérénité non pas en cherchant à le copier ou à l’imiter, mais en restituant toute la musique qu’il a fait naître en moi depuis longtemps et qui a maintenant mûrie. »

Son dernier album “Café & Alegria” a été enregistré au Brésil avec le mythique guitariste et compositeur, Toninho Horta.

« J’ai eu la grande chance de rencontrer Toninho Horta lors d’une tournée au Brésil. Etant fan de sa musique depuis de nombreuses années, tout était simple… Ce disque me tient à coeur, il représente une étape très importante pour moi, qui s’inscrit dans une longue histoire que j’entretiens avec la musique brésilienne. La réalisation de l’album était magique, avec un maximum d’émotion. Toninho Horta a apporté un soin essentiel à la réalisation de l’album. Le résultat dépasse toutes mes espérances, il y a de la joie musicale permanente et aussi une profondeur. »

 

Manuel se produit actuellement partout en France et dans le monde.

Il a principalement collaboré avec Toninho Horta, Anthony Ortega, Kyle EastwoodAl FosterGeorge MrazAntonio SanchezScott ColleyRick MargitzaChuck IsraelsOlivier Ker OurioDidier LockwoodJean-Luc PontyVictor LewisJean-Loup LongnonTeddy EdwardsJohnny GriffinBill MobleyRich PerrySylvain BeufPeter ErskineDusko GoykovichMichel LegrandEddie GomezEddie HendersonAndré CeccarelliAldo RomanoSara LazarusCharles AznavourPatrice Caratini.

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